dimanche 28 avril 2013

Encrage du chateau de Chenonceau



 

Chenonceau


Des fois, l’on se dit que les choses seront simples et surtout rapides.

Des fois on se plante.

 










Voici donc un encrage de Chenonceau, château de la Loire qui m’a toujours fasciné, sans doute par le fait que l’enfant de 8 ans que j’étais lors de ma visite de ce dernier ne devait pas comprendre comment un château pouvait « tenir »sur l’eau. Bon, l’enfant a grandit depuis, et il est fort à parier que Chambord remplacerait ce château si j’y retournais. Mais bref, je m’égare.

Déjà vous remarquerez quelque chose : je n’ai pas fait le reflet du château sur l’eau. C’était prévu à la base, mais arrivé à cette étape, je me suis torturé moi même face à cette question : qu’allaient rendre les trames sur une surface devant onduler? j’ai eu trop peur du résultat, et j’ai donc préféré m’arrêter aux arches qui ont au moins le mérite de faire sortir le coté aquatique de cette surface. C’est peu satisfaisant, mais je ne voyais pas encore risquer mes 40 heures de travail sur un pari.

Vous pourrez également remarquer une différence plus que sensible au niveau du crayonné versus la version encrée. En effet, le dessin à généralement tendance à pencher vers un coté. l’un des enjeux de l’encrage est de gommer toutes les erreurs de perspectives. En parlant d’erreur, j’en ai fait une belle: le haut du toit n’est pas sur le même point de fuite que sa base, ce qui a rendu impossible le tramage propre de la surface. Sniff.

D’un point de vu technique, j’ai par contre veillé à respecter un maximum mes 2 points de fuites. Je pense qu’en terme de perspective, le résultat est honorable. Pour information cette étape du point de fuite n’est pas anodine, mal les placer au départ, c’est perdre facilement 1 heure de boulot. En l’occurrence c’est ce qui m’est arrivé.

Je pensais que l’ensemble serait rapide à faire (moins de 30 heures, quoi). Mais en fait, la proximité du bâtiment avec le photographe oblige à aller beaucoup plus dans le détail. Ca n’a l’air de rien, mais entre les traits de placement, les trames et les motifs, vous pouvez facilement compter 20 à 30 minutes pour chaque fenêtre. Je vous laisse faire le compte… En plus, la moindre erreur de perspective à des conséquences énorme sur l’ensemble, donc chaque trait doit absolument être parfait. Ben mine de rien, en fait chaque coup de stylo est une bouffée de stress à encaisser.

Mais au final, je suis plutôt content.

Salutation

Nia






















Les dessins de Mania: art amateur en tout genre















Encrage du chateau de Chenonceau





Chenonceau


Des fois, l’on se dit que les choses seront simples et surtout rapides.



Des fois on se plante.


 
Encrage de Chenonceau
Chenonceau













Encrage de Chenonceau
Chenonceau







Voici donc un encrage de Chenonceau, château de la Loire qui m’a toujours fasciné, sans doute par le fait que l’enfant de 8 ans que j’étais lors de ma visite de ce dernier ne devait pas comprendre comment un château pouvait « tenir »sur l’eau. Bon, l’enfant a grandit depuis, et il est fort à parier que Chambord remplacerait ce château si j’y retournais. Mais bref, je m’égare.



Déjà vous remarquerez quelque chose : je n’ai pas fait le reflet du château sur l’eau. C’était prévu à la base, mais arrivé à cette étape, je me suis torturé moi même face à cette question : qu’allaient rendre les trames sur une surface devant onduler? j’ai eu trop peur du résultat, et j’ai donc préféré m’arrêter aux arches qui ont au moins le mérite de faire sortir le coté aquatique de cette surface. C’est peu satisfaisant, mais je ne voyais pas encore risquer mes 40 heures de travail sur un pari.



Vous pourrez également remarquer une différence plus que sensible au niveau du crayonné versus la version encrée. En effet, le dessin à généralement tendance à pencher vers un coté. l’un des enjeux de l’encrage est de gommer toutes les erreurs de perspectives. En parlant d’erreur, j’en ai fait une belle: le haut du toit n’est pas sur le même point de fuite que sa base, ce qui a rendu impossible le tramage propre de la surface. Sniff.



D’un point de vu technique, j’ai par contre veillé à respecter un maximum mes 2 points de fuites. Je pense qu’en terme de perspective, le résultat est honorable. Pour information cette étape du point de fuite n’est pas anodine, mal les placer au départ, c’est perdre facilement 1 heure de boulot. En l’occurrence c’est ce qui m’est arrivé.



Je pensais que l’ensemble serait rapide à faire (moins de 30 heures, quoi). Mais en fait, la proximité du bâtiment avec le photographe oblige à aller beaucoup plus dans le détail. Ca n’a l’air de rien, mais entre les traits de placement, les trames et les motifs, vous pouvez facilement compter 20 à 30 minutes pour chaque fenêtre. Je vous laisse faire le compte… En plus, la moindre erreur de perspective à des conséquences énorme sur l’ensemble, donc chaque trait doit absolument être parfait. Ben mine de rien, en fait chaque coup de stylo est une bouffée de stress à encaisser.



Mais au final, je suis plutôt content.



Salutation

























Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire

Annuaire Net-Liens "